mardi 22 mars 2011

Soyons fous !

Z'avez vu, j'ai choisi un fond avec une vieille carte du monde, ça fait gros cons universels =)

2 commentaires:

  1. Bon j'ai comme l'impression que j'ouvre le bal ... Alors on commence dans la bonne hummeur ;-)

    "Léon camionneur de son état, prend la route en cette belle matinée, pour livrer son chargement de packs de bières, des "roteuses" comme il les appelle. Quittant l’autoroute du soleil, il s’engage sur une départementale.
    Sur le bas coté une bonne sœur, Soeur Justine, rondouillarde, le pouce tendu fait du stop.

    Léon attendrit, s’arrête, et lui demande ou elle se rend. Troublée par le charme de Léon, un homme ténébreux qui respire la virilité avec son gros cigare à la bouche. Elle lui dit qu’elle va au presbytère St Ernestine de la louve, apportée des cacahuètes au monastère appelé « Les Cénobites tranquilles » qui se trouve à une journée d’ici, et malheureusement son solex est tombé en panne. En bon gentilhomme, Léon charge la bonne sœur dans son camion. La route est longue, il se met à chanter : « je m’appelle Léon, j’ai un beau camion et je m’en vais à lyon. »

    L’après midi arrivant, les premiers chaleurs se font sentir. Soeur Justine se met à transpirer, dit qu’il fait chaud et ouvre sa soutane, laissant apparaître les premiers domes de sa généreuse poitrine. Le Léon, n’en croit pas ses yeux. Et pour penser à autre chose, il chante : « je m’appelle Léon, j’ai un beau camion et je m’en vais à lyon. »
    Soeur Justine troublée par les odeurs de cigare et des larges épaules de Léon, commence à lui faire de l’œil. Léon troublé, pour penser à autre chose, il chante : « je m’appelle Léon, j’ai un beau camion et je m’en vais à lyon. »
    Soeur Justine, avec la chaleur, le cigare, les épaules, n’en pouvant plus, se caresse la poitrine, et se passe la langue sur les lèvres. Léon, il craque. Ca fait une semaine qu’il n’a pas baisé, la dernière était une pute nommée Mississippi banco, une bombe pleine de silicone, qu’il a tringlée sur la rambarde de sécurité, se dit vu que la sœur semble en chaleur autant y aller, et à son humble avis, ça fait un moment qu'elle doit etre défroquée. Ca tombe bien la nuit est arrivée.

    Léon arrête son camion. Ils descendent tous les 2 et s’en vont derrière un platane. Léon dans sa grande élégance habituelle, lui demande si elle préfère devant ou derrière. Soeur Justine lui répondit, qu'il peut entrer dans le chemin boueux, vu qu’elle est nonne, elle doit rester vierge, mais elle dit qu'elle est une femme avant tout, et qu’elle a aussi des besoins, comme chaque êtres humains. Léon, une trique pas possible abrège le discours de la nonne, lui lève sa soutane, et crac !!!, il l’enfile, le cigare aux lèvres, et lui dit delicatement : "t'es bonne Soeur Justine".
    Elle lui répond : "oui comme ta pine, mon fils". Ca elle se laisse aller la nonne dans le feu de l'action. Une fois leur affaire terminée, ils remontent dans le camion. Soulagé, Léon chante : « je m’appelle Léon, j’ai un beau camion et je m’en vais à lyon. »

    A une intersection, il voit un panneau ou est inscrit : « Ce soir grand bal masqué organisé par les Cénobites tranquilles ». Il se tourne vers la nonne, interrogateur et quelque peu terrifié. Et Soeur Justine chante avec un grand sourire et avec sa voix normale : « J’ m’appelle René, j’suis un gros pd et j’m’en vais au bal masqué. C’est la prochaine à gauche." .... :-D

    Niko

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